Jean-Marc va gravir le Mont-Blanc au profit de CAP48

mercredi 18 août 2021

4810€ pour 4810 mètres d’ascension

C’est le pari de Jean-Marc, 51 ans, qui a décidé de grimper le Mont-Blanc au profit de CAP48

 

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À la conquête du plus haut sommet des Alpes

Du 24 au 29 septembre 2021, Jean-Marc partira à la conquête de la plus haute montagne d’Europe de l’Ouest. Un challenge qui lui trottait en tête depuis de nombreuses années, mais qui s’est concrétisé à la suite d’un événement qui aurait pu lui être fatal.

Le déclic

Il y a un an, Jean-Marc a eu un accident de moto. Retrouvé immobilisé durant 2 mois suite à ses blessures, il a pris conscience de la force des personnes qui étaient en incapacité de se mouvoir librement au quotidien.

« J’ai toujours voulu faire le Mont Blanc. Je suis en vie, j’ai même la chance d’être ‘valide’, il faut que je me lance »

L’accident a été un véritable déclic pour Jean-Marc. Il a changé sa manière de penser et de voir la vie. Une fois rétabli, l’ancien randonneur s’est dit qu’il était temps de relever son challenge et, de surcroit, de le faire avec un objectif solide derrière : récolter des fonds au profit des personnes en situation de handicap.

« Je souhaite pouvoir agir pour ceux qui n’en n’ont plus forcément la possibilité. Mon accident m’a fait me rendre compte que le moindre problème qui nous empêche de nous mouvoir sans difficulté est handicapant. J’ai alors pensé à ces personnes pleines de force mentale, de joie de vivre, à qui j’ai eu envie de donner un peu de moi. Elles me donnent le courage et l’énergie pour avancer. »

 

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Un entrainement indispensable

4810 mètres d’ascension, ça se prépare. Marche, vélo, cross-fit, … Jean-Marc s’adonne à de nombreuses activités sportives pour réaliser son périple dans les meilleures conditions physiques possibles.

« S’entrainer en Belgique, c’est une chose. Mais notre plat pays ne prépare pas à la difficulté supplémentaire apportée par l’altitude ». C’est pourquoi il s’est rendu dans les Alpes début juillet afin de se confronter à l’altitude, mais aussi au mauvais temps. Une expérience qui ne l’a pas freiné dans sa détermination et son objectif de planter un drapeau CAP48 sur le toit de l’Europe.




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